Amok
J’écris sur la rivière et s’en va le poème Sous les chaudes amoks* et la menace d’or D’un ciel de fin d’été; s’en va l’être que j’aime, Descend le long du cours, et s’éloigne là-bas, Derrière une forêt qui ne s’ouvrira pas. Un pleur sur le genou, je m’assois...